Le « défi de l’œuf » gagne en popularité sur les plateformes de réseaux sociaux telles que TikTok, suscitant des réactions mitigées parmi les internautes. Ce défi consiste à casser un œuf sur la tête ou le front d’un enfant pendant que les parents sont en train de cuisiner, provoquant des réactions diverses chez les enfants et les spectateurs.
Des opinions divergentes sur le challenge
Les commentaires sous les vidéos du « défi de l’œuf » sont variés et continuent de croître en nombre. Certains internautes considèrent que ce défi est malveillant et humiliant, tandis que d’autres trouvent cela amusant et souhaitent l’essayer avec leurs propres enfants. Deux camps opposés se sont formés, certains condamnant ce défi et d’autres le défendant comme une simple plaisanterie.
Les raisons pour lesquelles les parents participent au défi
La plupart des parents qui acceptent de participer au « défi de l’œuf » le font pour s’amuser avec leurs enfants. Aaron Zapata, par exemple, a tenté ce défi avec trois de ses cinq enfants en préparant des muffins aux myrtilles. Selon lui, il s’agit d’une blague amusante et il est conscient que ses enfants pourraient se venger plus tard.
Certaines familles, comme celle d’Aaron Zapata, ont l’habitude de se faire ce genre de plaisanteries et de prendre en compte les réactions différentes de chaque enfant. Aaron souligne qu’il connaît ses enfants mieux que quiconque et qu’il n’aurait pas réalisé cette blague s’il pensait qu’elle pourrait avoir des conséquences négatives à long terme. Il ajoute que ses enfants savent qu’ils peuvent lui parler ouvertement de leurs sentiments.
En réalité, Aaron est plus affecté par les réactions des internautes que par celles de ses enfants. Certains l’ont accusé de causer des dommages à long terme à sa fille, ce qui l’a blessé et l’a poussé à remettre en question ce qu’il partage sur les réseaux sociaux. Cependant, il a décidé de ne pas accorder trop d’importance à ces critiques, rappelant qu’il est impossible de se faire une opinion sur une personne ou une famille en ne voyant qu’une infime partie de leur vie.
